AISV IAVS 2023

13ème congrès de l’IAVS-AISV

 

Visual Semiotics & Agency / Sémiotique visuelle et agentivité / Semiótica visual & agencia

Septembre 28-30, 2023, Universidad de Bogotá Jorge Tadeo Lozano, Bogotá (Colombie)

Appel à communications

Dans le célèbre ouvrage Traité du signe visuel (1992), le Groupe μ posait la question fondamentale de savoir si la visualité en tant que telle coïncidait avec la forme hjelmslevienne, à savoir si elle pouvait être considérée comme déterminante la nature du sens transmis. Dès que l’on abandonne le postulat d’autonomie du structuralisme pour prendre en compte la psychologie, la phénoménologie de la perception (comme l’avait suggéré Sonesson déjà en 1989) et, plus récemment, la sémiotique cognitive, il devient évident que tous les phénomènes offerts à la perception (humaine) par un quelque moyen visuel partagent des nombreuses propriétés, malgrés leurs différences à bien d’autres niveaux. Que ce type de visualité humaine partage des propriétés avec celle d’autres espèces et animaux reste un sujet de recherche.

Le domaine de la sémiotique visuelle est donc plus vaste que celui de la sémiotique des images, qui est le plus reconnu ou, au moins, le plus pratiqué. Elle étudie l’architecture et l’urbanisme car elle vise à comprendre tous les types d’artefacts résultant d’une pratique artisanale ou du design contemporain, et elle étudie également la perception. En fait, une grande partie des significations liées à notre corps et aux corps des autres est essentiellement visuelle. Tel est bien le cas de la mode, de la nourriture, des gestes, des événements sportifs, du tourisme, de la danse, du théâtre et de la performance artistique. Cela va de même avec les mannequins en vitrine, les sculptures et les monuments publics. La plupart de ces exemples s’adressent à différents sens (en plus d'être polysémiotiques d’après Zlatev (2019), c’est-à-dire impliquant différents langages dans la fabrication de sens), mais la visualité reste le sens “Dominant”, au  sens de l’école de Prague. Et même lorsque la visualité n’est pas prédominante, nous avons besoin d’investigations plus approfondies que celles dont nous disposons à l’heure actuelle. La question de  “le visuel, agit-il comment?”  est devenue fondamentale.

Lorsqu’on explore le vaste domaine de la visualité, on rencontre un problème qui a été central dans la recherche en archéologie, en sciences cognitives et en phénoménologie : la nature de l’agentivité. Sans oublier les travaux pionniers en sémiotique de l’agentivité de Douglas Niño (2015), c’est sans aucun doute à travers la critique de Lambros Malafouris (2013) que l’agentivité s’est imposée comme un enjeu au sein de la sémiotique. Précisément en raison de son caractère introductif, le travail de Malafouris sur l’agentivité a déjà commencé à grandement intéresser le public de la sémiotique. Les travaux précurseurs de Alfred Gell et Shaun Gallagher nous ont également appris que l’agentivité est une notion complexe et multi-couches. Par rapport aux auteurs cités, il serait plus convenable de formuler le problème de l’agentivité au niveau plus général de la visualité que de celui des images. C’était en réaction à l’idée de Jean-Marie Schaeffer (1987), selon qui la photographie pouvait être produite par des moyens purement dûs au hasard, sans l’intervention d’intention aucune, que Sonesson (1988 ; 2015) a développé l’idée d’intentions remotes. Mais le problème d’agentivité devient encore plus complexe lorsqu’on prend en considération les images générées par ordinateur, les logiciels et les applications qui produisent des images via les algorithmes de synthèse disponibles sur Internet, les jeux vidéo, les films, et les plateformes de streaming, entre autres.

En dehors de la sémiotique, des discussions récentes sur le rôle de l’agentivité dans la génération de sens montrent un panorama de développements récents, mais sans de véritables traits de convergence. Par exemple, dans l’introduction du Handbook of Phenomenology of Agency, Erhard & Keiling (2020) listent des sujets tels que la métaphysique de l’agentivité, la rationalité, l’action volontaire et involontaire, la phénoménologie de l’agentivité, la phénoménologie de la liberté et l’agentivité incarnée. Ainsi, l’agentivité a une signification ontologique (capable de), avec des conséquences esthétiques (faire avec des effets esthétiques), épistémique (faire avec l’effet d’apprendre) et éthique-politique (faire avec l’effet d’intervenir). Néanmoins, en même temps, on peut s’interroger sur la relation entre ces sujets de recherche et la production visuelle de sens. Quelle est, par exemple, la relation entre les images et l’agentivité incarnée ? Quelle est la relation entre l’agentivité et la réception des médias visuels ? (cf. Susanne Eicher, 2014). Y a-t-il quelque chose de caractéristique dans la phénoménologie de la perception picturale ? Ou, inversement, quel est l’impact des images visuelles sur l’agentivité et le sens de l’agentivité ? Quelle est la relation entre la persuasion visuelle et le contrôle de l’agentivité ? Quelle est la portée des images dans l’univers du pouvoir et de la politique (la relation des agentivités sur des agentivités) ?

Nous invitons les chercheuses et les chercheurs travaillant en sémiotique visuelle à participer, ainsi que celles et ceux impliquées dans la socio-sémiotique, dans la philosophie, la psychologie, les sciences sociales et les sciences cognitives à partager leurs recherches relatives à la relation entre l’agentivité (au sens le plus large) et la sémiotique visuelle. Bien que nous sommes ouverts, comme toujours, aux contributions sur la sémiotique des images, nous souhaitons focaliser l’attention sur d’autres types de sémiose visuelle, et sur l’agentivité dans tous les sens du terme, appliquée non seulement à l’acte de créer des artefacts visuels mais aussi à leur interprétation.

La liste suivante, non-exhaustive, comprend certains thématiques clés pertinentes pour notre congrès:

  • Les traits propres de la visualité (dans la perception humaine et autres)
  • La partie occupée par la visualité dans la polysémiose
  • Visualité et agentivité en architecture et urbanisme
  • Agentivité améliorée et sémiose visuelle
  • Intentions remotes et systèmes de pertinence
  • Technologies visuelles et agentivité
  • Agentivité collective et compréhension visuelle
  • Conception visuelle et agentivité
  • Images de et pour l’agentivité animalière
  • Agentivité projetée et images visuelles
  • Image de marque et agentivité
  • Visualité, agentivité et politique
  • Arts visuels et agentivité
  • Couches phénoménologiques de l’agentivité
  • Agentivité dans l’interprétation des images

Avec le soutien de ICETEX

13ème congrès de l’IAVS-AISV

 

Visual Semiotics & Agency / Sémiotique visuelle et agentivité / Semiótica visual & agencia

Septembre 28-30, 2023, Universidad de Bogotá Jorge Tadeo Lozano, Bogotá (Colombie)

Appel à communications

Dans le célèbre ouvrage Traité du signe visuel (1992), le Groupe μ posait la question fondamentale de savoir si la visualité en tant que telle coïncidait avec la forme hjelmslevienne, à savoir si elle pouvait être considérée comme déterminante la nature du sens transmis. Dès que l’on abandonne le postulat d’autonomie du structuralisme pour prendre en compte la psychologie, la phénoménologie de la perception (comme l’avait suggéré Sonesson déjà en 1989) et, plus récemment, la sémiotique cognitive, il devient évident que tous les phénomènes offerts à la perception (humaine) par un quelque moyen visuel partagent des nombreuses propriétés, malgrés leurs différences à bien d’autres niveaux. Que ce type de visualité humaine partage des propriétés avec celle d’autres espèces et animaux reste un sujet de recherche.

Le domaine de la sémiotique visuelle est donc plus vaste que celui de la sémiotique des images, qui est le plus reconnu ou, au moins, le plus pratiqué. Elle étudie l’architecture et l’urbanisme car elle vise à comprendre tous les types d’artefacts résultant d’une pratique artisanale ou du design contemporain, et elle étudie également la perception. En fait, une grande partie des significations liées à notre corps et aux corps des autres est essentiellement visuelle. Tel est bien le cas de la mode, de la nourriture, des gestes, des événements sportifs, du tourisme, de la danse, du théâtre et de la performance artistique. Cela va de même avec les mannequins en vitrine, les sculptures et les monuments publics. La plupart de ces exemples s’adressent à différents sens (en plus d'être polysémiotiques d’après Zlatev (2019), c’est-à-dire impliquant différents langages dans la fabrication de sens), mais la visualité reste le sens “Dominant”, au  sens de l’école de Prague. Et même lorsque la visualité n’est pas prédominante, nous avons besoin d’investigations plus approfondies que celles dont nous disposons à l’heure actuelle. La question de  “le visuel, agit-il comment?”  est devenue fondamentale.

Lorsqu’on explore le vaste domaine de la visualité, on rencontre un problème qui a été central dans la recherche en archéologie, en sciences cognitives et en phénoménologie : la nature de l’agentivité. Sans oublier les travaux pionniers en sémiotique de l’agentivité de Douglas Niño (2015), c’est sans aucun doute à travers la critique de Lambros Malafouris (2013) que l’agentivité s’est imposée comme un enjeu au sein de la sémiotique. Précisément en raison de son caractère introductif, le travail de Malafouris sur l’agentivité a déjà commencé à grandement intéresser le public de la sémiotique. Les travaux précurseurs de Alfred Gell et Shaun Gallagher nous ont également appris que l’agentivité est une notion complexe et multi-couches. Par rapport aux auteurs cités, il serait plus convenable de formuler le problème de l’agentivité au niveau plus général de la visualité que de celui des images. C’était en réaction à l’idée de Jean-Marie Schaeffer (1987), selon qui la photographie pouvait être produite par des moyens purement dûs au hasard, sans l’intervention d’intention aucune, que Sonesson (1988 ; 2015) a développé l’idée d’intentions remotes. Mais le problème d’agentivité devient encore plus complexe lorsqu’on prend en considération les images générées par ordinateur, les logiciels et les applications qui produisent des images via les algorithmes de synthèse disponibles sur Internet, les jeux vidéo, les films, et les plateformes de streaming, entre autres.

En dehors de la sémiotique, des discussions récentes sur le rôle de l’agentivité dans la génération de sens montrent un panorama de développements récents, mais sans de véritables traits de convergence. Par exemple, dans l’introduction du Handbook of Phenomenology of Agency, Erhard & Keiling (2020) listent des sujets tels que la métaphysique de l’agentivité, la rationalité, l’action volontaire et involontaire, la phénoménologie de l’agentivité, la phénoménologie de la liberté et l’agentivité incarnée. Ainsi, l’agentivité a une signification ontologique (capable de), avec des conséquences esthétiques (faire avec des effets esthétiques), épistémique (faire avec l’effet d’apprendre) et éthique-politique (faire avec l’effet d’intervenir). Néanmoins, en même temps, on peut s’interroger sur la relation entre ces sujets de recherche et la production visuelle de sens. Quelle est, par exemple, la relation entre les images et l’agentivité incarnée ? Quelle est la relation entre l’agentivité et la réception des médias visuels ? (cf. Susanne Eicher, 2014). Y a-t-il quelque chose de caractéristique dans la phénoménologie de la perception picturale ? Ou, inversement, quel est l’impact des images visuelles sur l’agentivité et le sens de l’agentivité ? Quelle est la relation entre la persuasion visuelle et le contrôle de l’agentivité ? Quelle est la portée des images dans l’univers du pouvoir et de la politique (la relation des agentivités sur des agentivités) ?

Nous invitons les chercheuses et les chercheurs travaillant en sémiotique visuelle à participer, ainsi que celles et ceux impliquées dans la socio-sémiotique, dans la philosophie, la psychologie, les sciences sociales et les sciences cognitives à partager leurs recherches relatives à la relation entre l’agentivité (au sens le plus large) et la sémiotique visuelle. Bien que nous sommes ouverts, comme toujours, aux contributions sur la sémiotique des images, nous souhaitons focaliser l’attention sur d’autres types de sémiose visuelle, et sur l’agentivité dans tous les sens du terme, appliquée non seulement à l’acte de créer des artefacts visuels mais aussi à leur interprétation.

La liste suivante, non-exhaustive, comprend certains thématiques clés pertinentes pour notre congrès:

  • Les traits propres de la visualité (dans la perception humaine et autres)
  • La partie occupée par la visualité dans la polysémiose
  • Visualité et agentivité en architecture et urbanisme
  • Agentivité améliorée et sémiose visuelle
  • Intentions remotes et systèmes de pertinence
  • Technologies visuelles et agentivité
  • Agentivité collective et compréhension visuelle
  • Conception visuelle et agentivité
  • Images de et pour l’agentivité animalière
  • Agentivité projetée et images visuelles
  • Image de marque et agentivité
  • Visualité, agentivité et politique
  • Arts visuels et agentivité
  • Couches phénoménologiques de l’agentivité
  • Agentivité dans l’interprétation des images

Avec le soutien de ICETEX

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Visual Semiotics & Agency / Sémiotique visuelle et agentivité / Semiótica visual & agencia

Septembre 28-30, 2023, Universidad de Bogotá Jorge Tadeo Lozano, Bogotá (Colombie)

Appel à communications

Dans le célèbre ouvrage Traité du signe visuel (1992), le Groupe μ posait la question fondamentale de savoir si la visualité en tant que telle coïncidait avec la forme hjelmslevienne, à savoir si elle pouvait être considérée comme déterminante la nature du sens transmis. Dès que l’on abandonne le postulat d’autonomie du structuralisme pour prendre en compte la psychologie, la phénoménologie de la perception (comme l’avait suggéré Sonesson déjà en 1989) et, plus récemment, la sémiotique cognitive, il devient évident que tous les phénomènes offerts à la perception (humaine) par un quelque moyen visuel partagent des nombreuses propriétés, malgrés leurs différences à bien d’autres niveaux. Que ce type de visualité humaine partage des propriétés avec celle d’autres espèces et animaux reste un sujet de recherche.

Le domaine de la sémiotique visuelle est donc plus vaste que celui de la sémiotique des images, qui est le plus reconnu ou, au moins, le plus pratiqué. Elle étudie l’architecture et l’urbanisme car elle vise à comprendre tous les types d’artefacts résultant d’une pratique artisanale ou du design contemporain, et elle étudie également la perception. En fait, une grande partie des significations liées à notre corps et aux corps des autres est essentiellement visuelle. Tel est bien le cas de la mode, de la nourriture, des gestes, des événements sportifs, du tourisme, de la danse, du théâtre et de la performance artistique. Cela va de même avec les mannequins en vitrine, les sculptures et les monuments publics. La plupart de ces exemples s’adressent à différents sens (en plus d'être polysémiotiques d’après Zlatev (2019), c’est-à-dire impliquant différents langages dans la fabrication de sens), mais la visualité reste le sens “Dominant”, au  sens de l’école de Prague. Et même lorsque la visualité n’est pas prédominante, nous avons besoin d’investigations plus approfondies que celles dont nous disposons à l’heure actuelle. La question de  “le visuel, agit-il comment?”  est devenue fondamentale.

Lorsqu’on explore le vaste domaine de la visualité, on rencontre un problème qui a été central dans la recherche en archéologie, en sciences cognitives et en phénoménologie : la nature de l’agentivité. Sans oublier les travaux pionniers en sémiotique de l’agentivité de Douglas Niño (2015), c’est sans aucun doute à travers la critique de Lambros Malafouris (2013) que l’agentivité s’est imposée comme un enjeu au sein de la sémiotique. Précisément en raison de son caractère introductif, le travail de Malafouris sur l’agentivité a déjà commencé à grandement intéresser le public de la sémiotique. Les travaux précurseurs de Alfred Gell et Shaun Gallagher nous ont également appris que l’agentivité est une notion complexe et multi-couches. Par rapport aux auteurs cités, il serait plus convenable de formuler le problème de l’agentivité au niveau plus général de la visualité que de celui des images. C’était en réaction à l’idée de Jean-Marie Schaeffer (1987), selon qui la photographie pouvait être produite par des moyens purement dûs au hasard, sans l’intervention d’intention aucune, que Sonesson (1988 ; 2015) a développé l’idée d’intentions remotes. Mais le problème d’agentivité devient encore plus complexe lorsqu’on prend en considération les images générées par ordinateur, les logiciels et les applications qui produisent des images via les algorithmes de synthèse disponibles sur Internet, les jeux vidéo, les films, et les plateformes de streaming, entre autres.

En dehors de la sémiotique, des discussions récentes sur le rôle de l’agentivité dans la génération de sens montrent un panorama de développements récents, mais sans de véritables traits de convergence. Par exemple, dans l’introduction du Handbook of Phenomenology of Agency, Erhard & Keiling (2020) listent des sujets tels que la métaphysique de l’agentivité, la rationalité, l’action volontaire et involontaire, la phénoménologie de l’agentivité, la phénoménologie de la liberté et l’agentivité incarnée. Ainsi, l’agentivité a une signification ontologique (capable de), avec des conséquences esthétiques (faire avec des effets esthétiques), épistémique (faire avec l’effet d’apprendre) et éthique-politique (faire avec l’effet d’intervenir). Néanmoins, en même temps, on peut s’interroger sur la relation entre ces sujets de recherche et la production visuelle de sens. Quelle est, par exemple, la relation entre les images et l’agentivité incarnée ? Quelle est la relation entre l’agentivité et la réception des médias visuels ? (cf. Susanne Eicher, 2014). Y a-t-il quelque chose de caractéristique dans la phénoménologie de la perception picturale ? Ou, inversement, quel est l’impact des images visuelles sur l’agentivité et le sens de l’agentivité ? Quelle est la relation entre la persuasion visuelle et le contrôle de l’agentivité ? Quelle est la portée des images dans l’univers du pouvoir et de la politique (la relation des agentivités sur des agentivités) ?

Nous invitons les chercheuses et les chercheurs travaillant en sémiotique visuelle à participer, ainsi que celles et ceux impliquées dans la socio-sémiotique, dans la philosophie, la psychologie, les sciences sociales et les sciences cognitives à partager leurs recherches relatives à la relation entre l’agentivité (au sens le plus large) et la sémiotique visuelle. Bien que nous sommes ouverts, comme toujours, aux contributions sur la sémiotique des images, nous souhaitons focaliser l’attention sur d’autres types de sémiose visuelle, et sur l’agentivité dans tous les sens du terme, appliquée non seulement à l’acte de créer des artefacts visuels mais aussi à leur interprétation.

La liste suivante, non-exhaustive, comprend certains thématiques clés pertinentes pour notre congrès:

  • Les traits propres de la visualité (dans la perception humaine et autres)
  • La partie occupée par la visualité dans la polysémiose
  • Visualité et agentivité en architecture et urbanisme
  • Agentivité améliorée et sémiose visuelle
  • Intentions remotes et systèmes de pertinence
  • Technologies visuelles et agentivité
  • Agentivité collective et compréhension visuelle
  • Conception visuelle et agentivité
  • Images de et pour l’agentivité animalière
  • Agentivité projetée et images visuelles
  • Image de marque et agentivité
  • Visualité, agentivité et politique
  • Arts visuels et agentivité
  • Couches phénoménologiques de l’agentivité
  • Agentivité dans l’interprétation des images

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Reconocimiento personería jurídica: Resolución 2613 del 14 de agosto de 1959 Minjusticia.

Institución de Educación Superior sujeta a inspección y vigilancia por el Ministerio de Educación Nacional.